Michel Polnareff dimanche dans « Sept à Huit » sur TF1
Cette semaine dans le magazine « Sept à Huit », présenté par Anne-Sophie Lapix et Harry Roselmack, diffusé dimanche 11 mars à partir de 18h45 sur TF1, le portrait de la semaine de Thierry Demaizière sera consacré au chanteur Michel Polnareff.
Douze ans sans grande interview télé pour un chanteur culte ! Après trente ans d'absence, Michel Polnareff est de retour en France pour une tournée de près de cinquante dates. En exclusivité, il a accepté de recevoir « Sept à Huit ». Il revient sur ce come-back si attendu et pourtant tellement redouté, sur son retour sur scène au soir du 2 mars à Bercy, sur l'émotion qu'il a ressentie, et sur les doutes qui l'ont assailli. Il évoque aussi tous les grands moments de sa vie, de sa réconciliation ratée avec son père, à sa peur de perdre la vue, en passant par sa découverte de la paternité et son exil à Los Angeles. Et enfin, il s'installe derrière le piano pour interpréter un de ses plus grands tubes : « Lettre à France ».
Reportages qui seront également au sommaire de « Sept à Huit » :
Passion Tunning
Jantes chromées, ailerons surdimensionnés, peintures argentées, sièges en cuir blanc et écrans DVD... Pour les adeptes du tuning, rien n'est jamais trop beau pour une voiture. Leur passion ? Modifier l'apparence de leurs véhicules jusqu'à en faire des pièces uniques et... pas vraiment discrètes. Et le virus se répand, ainsi, les magazines ou les jeux vidéos consacrés à ce hobby se multiplient et, sur les chaînes musicales branchées, on peut voir des émissions entières consacrées à ces voitures délirantes. Maxime travaille dans l'industrie à Valenciennes. A 26 ans, il a deux voitures, une pour le quotidien et l'autre, couleur vert pomme métallisée et sièges en serpent, pour la frime ! Le plus grand « kif » pour lui et ses copains, retrouver en kiosque la photo des courbes de leurs engins sur papier glacé. Jusqu'à y consacrer tout leur argent et passer leurs week-ends dans des ateliers mécaniques pour inlassablement désoss er et remonter. Avec beaucoup plus de moyens, le rappeur à succès Lord Kossity est lui aussi adepte du tuning. Avec lui, les voitures, ça dépote ! Plongée avec Loïck Berrou dans un univers d'esbroufe.
Les enfants de Kinshasa
Kinshasa, huit millions d'habitants au bord du fleuve Congo et 25 000 enfants abandonnés. Les 3/4 d'entre eux ont été chassés par leurs familles avec un même motif : ces gamins seraient de petits sorciers, des « shégués » en langage local... Un mort, une maladie, une accumulation de problèmes dans une maison ? Ce sont eux qu'on accuse. La sorcellerie est devenue la « bonne excuse » pour se débarrasser de bouches en surnombre dans un pays où la pauvreté a explosé avec la guerre civile. Ruben et Joseph ont 10 et 7 ans. Deux frères dont le père et la mère ont disparu et que leur grand-mère a accusé d'avoir causé la mort de leurs deux petits cousins, décédés en fait d'une pneumonie. Car ce sont souvent les oncles, les grands-parents ou les secondes épouses qui poussent les gamins à la rue. Et qui ne leur épargnent rien : privations de nourriture, tentatives de désenvoûtement, interdiction de jouer avec les autres enfants ou encore expulsion de l'école. Arnold est éducateur de rue ; il a provisoirement pris Joseph et Ruben sous son aile. Grâce au soutien d'une ONG française, il essaie de recueillir les « shégués ». Mais les moyens manquent face à l'ampleur du problème. Et nombre de ces gamins abandonnés sombrent dans l'alcool, la drogue ou la prostitution. Reportage d'Emmanuel Reitz au Congo sur ces enfants maudits.
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