On dit qu'elle avait deux craintes : perdre la tête et agoniser lentement. Le bon Dieu lui aura épargné l'une et l'autre.
Toutes ces personnes magnifiques qui, à leur façon, viennent en aide à l'humanité et parfois lui consacrent leur vie entière, ne peuvent pas rester éternellement à nos côtés, nous le savons bien, mais tout de même, lorsqu'ils nous quittent, ça fait un sacré vide.